30 Octobre 1991 - Madeleine : « Ce Soir Tu Viens Diner À La Maison, »
Il avait été planifié pour le 30 octobre une réunion de coordination en vue des prochains séminaires de formation que devaient avoir lieu à Orléans et dans dautres villes. Toute léquipe devait être là, pour finir en temps réel la coordination des différents intervenants. Cela devait se faire en une journée. Le 24 octobre Madeleine mappela et me demanda si il métait possible darriver la veille afin den nous voir avant la réunion. Pour ma part je morganisais pour ce rendez-vous lespérant au minimum câlin. Chantal la jeune fille à laccueil, entre nous un joli petit lot ayant ce quil faut ou il faut, et je pense quelle le savait maccompagna jusquau bureau de Madeleine.
Nous étions seuls et à peine arrivé, elle se précipita dans mes bras, pour un long baiser accompagné dun excitant corps à corps. Je réussissais à la pousser contre le bureau et après avoir délicatement ouverts on corsage, je moccupais avidement de ses seins et comme dhabitude ils étaient soutenus mais pas couverts, donc disponibles pour ma bouche ce dont je profitais goulument, sachant quelle aimait beaucoup cet approche. Après avoir rendu hommage à sa belle poitrine, je commençais à remonter sa jupe de façon à avoir accès à sa chatte. Sans problème elle maida et quand je glissais une main vers son intimité, ayant écarté les cuisses, laccès fut aisé et je mempressais de moccuper de son minou qui comme dhabitude était nu. Cest alors que Madeleine me demanda : « As-tu réservé ta chambre,
»
Moi : « Oui,
comme dhabitude,
si tu veux,
on peur y aller,
»
Madeleine : « Non,
on va sarrêter là,
on reprendra plus tard,
»
Moi : « Y-a un problème,
»
Madeleine : « Non,
tu viens diner à la maison,
et je veux que tu sois en forme,
»
Moi : « Pourquoi,
tu es seuls,
»
Madeleine : « Non,
Robert voudrait te connaître,
»
Moi : « Moi,
pourquoi,
»
Madeleine : « Ben,
cest normal,
je lui ai parlé de toi,
»
Moi : « Quoi,
tu lui a parlé de moi,
mais comment,
»
Madeleine : « Comment,
mais je lui ai dit que tu étais mon amant,
»
Moi : « Tu es folle,
et il veut me connaître,
»
Madeleine : « Oui,
en quoi ça te gêne,
»
Moi : « Je suis un peu dépassé,
jai du mal à comprendre,
»
Madeleine : « Cest pourtant simple,
je vais texpliquer,
Robert a,
enfin je dirais des problèmes de,
libido,
enfin il a du mal à bander,
on a tout essayé,
mises des plus sexy pour moi,
toubibs,
même les films porno,
rien à fait,
mais un jour, suite à un film déchangisme il a pensé que
peut-être me voir faire lamour avec un autre homme,
pourrait le débloquer,
le pousser à réagir,
»
Moi un peu ironique : « Effectivement,
quoi de plus normal,
»
Madeleine : « Jai un peu hésiter,
et je me suis dit pourquoi pas,
comme je te connaissais, depuis un certain temps
et que jappréciais ta façon de faire,
je lui ai dit daccord,
mais jai posé comme condition, que je pourrais choisir mon partenaire,
il a été daccord,
et jai pensé que tant quà le faire
jaimerais faire ça avec toi,
et jespérais que ça te tenterait,
»
Moi : « Ai-je le droit de donner mon avis,
»
Madeleine : « Bien sur,
»
Moi : « Vous êtes fous,
»
Madeleine : « Oh,
je suis contente,
tu acceptes,
tu verras, tu ne le regrettera pas,
cela peut être une opération intéressante,
»
Moi : « Bof,
je ne sais,
et après,
en supposant que ça marche,
ton mari dira que tu ne peux plus me voir,
»
Madeleine : « Ça cest autre chose,
on en parlera plus tard,
»
Moi : « A supposer que jaccepte,
il va me demander comment jai fait ta connaissance,
disons comme tu es arrivé dans mon mit,
ou linverse,
»
Madeleine : « Mon chéri,
tu as de limagination,
de toutes les façons, je serais là pour approuver ce que tu dis,
dans la mesure cest en septembre que Robert ma fait cette proposition
donc tu inventeras,
par exemple utilise la date de notre rencontre du 15 octobre,
ce serait bien,
et de fait cest après cette date que jai accepté,
»
Moi : « Cest de la folie pure,
»
Madeleine : « Jaurais jamais pensé à faire ça avant,
mais,
cest un service que je te demande,
et on verra après,
je te promets dêtre très reconnaissante,
»
Moi : « Vous êtes fous,
»
Madeleine : « Daccord,
viens à la maison vers vingt heures,
que je prépare tout,
que je me prépare,
embrasses moi,
» et elle partit.
Javais acheté une bouteille de whisky et à vingt heures je sonnais chez Madeleine, qui rapidement vint mouvrir. Là, le choc,
elle était vêtue, ou plutôt dévêtue dun corsage couleur chair absolument transparent et lon pouvait parfaitement voir le détail de ses seins et une jupe kilt très courte et naturellement chaussée descarpins. A peine entré, elle se colla à moi et jeu droit à un rapide et tendre baiser ainsi quà un corps à corps violent. Puis elle prit la bouteille et jen profitais pour glisser rapidement une main sous sa jupe, elle eut un court arrêt, mais assez long pour me permettre de sentir quelle navait rien sous sa jupe. Entrée dans la salle de séjour où les présentations furent faites : Robert, Jean,
et on enchaina rapidement par lapéritif. Alors que Madeleine servait les apéritifs, se penchant assez en avant pour nous permettre dapprécier soit ses seins, soit ses fesses et le reste,
Robert me dit : « Etant donné que nous honorons la même femme, je pense que nous pouvons nous tutoyer,
cela facilitera la suite de la soirée,
» Ainsi, nous partîmes sur le tutoiement.
Le diner
Je mattendais à des questions,
mais aucune, enfin,
à un moment Robert tenta une ouverture et fut gentiment rabroué par Madeleine, « Cétait convenu,
on dine tranquillement, on discutera après. Et effectivement le repas fut simple et tranquille, dans la mesure où je le branchais sur ses histoires dexpert et il en avait, certaines dailleurs assez drôles. Fin du repas Madeleine annonça quelle allait chercher le dessert. La seule chose que lon comprit était : « madeleines à la chantilly,
» et que par facilité, on le prendrait au salon avec le café. On quitta la table à manger pour se déplacer au salon. Elle arriva tenant un plateau à hauteur de ses seins sur lequel il y avait deux « boules » de chantilly, avec au milieu une bombe à chantilly. Effectivement, elle avait posé ses seins sur le plateau, et les tétons étaient enrobés de chantilly juste au-dessus du plateau.
Linterrogatoire
Courant de lapéritif, naturellement il me demanda : « Depuis quand connais tu Madeleine ? »
Moi après avoir bu un coup: « Ah,
bonne question,
on voit lexpert,
question à tiroir. Premier tiroir, cela fait plus de deux ans que nous nous connaissons. Et travaillons ensembles, elle fait partie de léquipe dexperts qui officient lors des séminaires de formation. Madeleine est la collègue que javais toujours connu, polie mais distante, jeune femme compétente, sérieuse, toujours en tailleur strict, ce qui situe le personnage. Je pense avoir répondu à la question »
Robert : « Oui,
partiellement, tu disais que cétait une question à tiroir, ... en fait quand as-tu connu Madeleine,
disons plus intimement,
»
Moi : « En fait le 15 octobre, nous avions une réunion de coordination où il y avait outre Madeleine, un collègue surnommé Bull, car en charge des exposés sur le gros matériel, Marta une jeune informaticienne jolie, un peu typée espagnole, donc brune et éclatante de santé et bonne humeur , René Ingénieur des produits spéciaux,
.et moi. Le soir, il ne restait que Madeleine, Marta Bull et moi. Nous avons diné ensemble, comme à laccoutumée ; quant à la fin du repas Bull, nous dit : « Cest mon anniversaire,
je vous invite à lEdelweiss (boite de nuit à dix minutes en voiture) pour une petite coupe.
Nous voilà en route vers les voitures. Marta, sans problème, monte avec Bull, quant à moi, je décide de prendre ma voiture, quand Madeleine me dit : « Comme vous ne rentrez pas tard, ... Je viens avec vous,
» et en route pour la boite de nuit. Nous sommes arrivés pratiquement les premiers. Bull commande une bouteille et le voilà sur la piste avec Marta. Jinvite Madeleine, danses suivantes, changement de cavalière et ainsi pendant une petite demi heure où javais, entre autres, le plaisir de danser avec Marta et après quelques danses je me laissais à penser que je pourrais bien moccuper de ce petit lot, mais bon
après quelques tours, Bull a accaparé Marta. On ne pouvait pas rester, Madeleine et moi, à les regarder danser. Pratiquement lheure suivante nous avons dansé,
et tu sais ce quil se passe quand tu danses avec une jolie femme, au fur et à mesure de la soirée, on se rapproche,
quand enfin Madeleine ma demandé à rentrer, et cest en arrivant à la voiture que je décidais de tenter ma chance : un baiser ou une claque,
jai eu droit au baiser,
retour à lhôtel et ce qui devait arriver arriva, nous nous sommes retrouvé dans ma chambre,
»
La vérité
((Je ne pouvais pas lui dire, ce qui cétait réellement passé, car, certes nous avions dansé, après un début disons amoureux, cétait devenu un véritable corps à corps qui avait suivi. Une petite heure était passée, Madeleine me dit quelle voulait rentrer. Bien. Le parking sétait rempli, nous arrivâmes à la voiture et passant entre larrière de la voiture et la haie de clôture nous avions commencé par un baiser long et sensuel où tout le corps avait participé et jen profitais pour glisser mes mais sous sa veste, et comme je le pressentais, jatterris directement sur sa peau.
Madeleine : « Euh,
non,
tu es fou,
»
Moi : « Je suis sur que tu en as envie,
tes toute chaude,
» et sans plus discuter elle remonta sa jupe au niveau de ses fesses, libérant ainsi sa chatte que je mempressais de couvrir de ma main, et de caresser. Sappuyant sur le capot, elle ouvrit un peu plus les cuisses me permettant ainsi davoir un accès facile et agréable à son minou tout chaud et humide,
Madeleine : « Jaime que tu me caresses, comme ça,
mais ne vas pas plus loin,
» Les cuisses légèrement ouvertes, le bassin bien en avant, cest à ce moment que je choisi pour la pénétrer de deux doigts.
Madeleine : « OH,
non,
oui,
doucement,
non,
pas déjà,
Oh oui, continues que je te sente,
» et, je continuais à la masturber avec ardeur, en fait, ce que je lui faisais en plus du lieu, faisait quelle appréciait la chose : « Continues,
Oh,
cest bon,
ne tarrêtes pas,
je sens que je vais jouir,
ouiiii,
continues,
OOOOOHHHHH,
OUIIIIIII,
» Un spasme brutal lui fit fermer les jambes tout en se cramponnant à moi. Cest ainsi quelle récupérera son souffle. Se réajustant, elle prit ma main et portant à sa bouche les doigts qui sétaient occupés de sa chatte, les suça en disant : « Jaime gouter au plaisir que tu mas donné,
viens on rentre je veux moccuper de toi,
je veux te donner du plaisir,
viens vite,
» et nous montâmes dans la voiture direction la chambre dhôtel. A peine arrivés, Madeleine jeta sa veste au loin une danse des hanches la jupe dégagea et elle se laissa tomber sur le lit la chatte bien en vue offerte avec un : « Viens,
dépêches toi,
regardes,
cest à toi,
» Je bandais dur, je me déshabillais le plus rapidement possible et que je mapprochais du lit, elle se redressa et voyant lengin bien dressé : « Laisses moi y gouter,
jaime quand je vois que tu as envie de moi,
avant de tavoir dans ma chatte,
je te veux dans ma bouche,
» joignant le geste à la parole, un coup de langue sur la hampe bien dressée et du bout des lèvres elle caressa le gland pour enfin mabsorber entièrement et commencer à pomper avec ardeur. Je dus larrêter car cétait sa chatte que je voulais. Et docilement, mais avec un : « Cest dommage,
jaimais,
te gouter,
» elle se laissa aller en arrière : « Viens,
prends moi,
je veux tavoir sur moi,
(ouvrant sa chatte) regardes,
je mouvre pour toi,
» Je me posais entre ses cuisses et sans problème elle se saisit de ma bite et la dirigea vers sa chatte : « Oui,
viens,
rentres doucement,
que je te sente,
bien me pendre,
oh, oui,
baises moi,
je te veux,
» Elle était déchainée, elle encaissait chaque pénétration en se tendant et en manifestant son plaisir dêtre prise, je la sentais prête à partir lorsque se bloquant : « Arrêtes,
» et me repoussant elle se mit sur le ventre puis en levrette, son joli cul bien en évidence, elle mit ses deux mains sur ses fesses les écarta, offrant à ma vue sa rosette, bien plissée, trempant mes doigts dans sa chatte jhumidifiais son petit trou afin de mieux my introduire: « Viens,
cest là que je te veux,
prends par là,
encules moi,
montes moi,
prends ton plaisir,
forces moi le cul,
oui,
continues,
» Elle était tellement gourmande, tellement prête quil ne me fallu pas un grand effort pour la prendre. A peine entré je commençais à la ramoner avec ardeur et peu de rapidement sa main droite descendit entre ses cuisses pour soccuper de son minou, pendant que je moccupais de sa rosette.
Moi : « Tu aimes te caresser, quand on soccupe de ton joli cul,
»
Madeleine : « Oui,
jaime,
continues,
jaime te sentir me prendre,
narrêtes pas,
«
Et je me souvenais quelle aimait que je lui claque gentiment les fesses, ce que je mempressais de faire et la réaction fut immédiate, une contraction immédiate de ses muscles internes qui menserrèrent ma bite, ce qui augmenta la pression et je me cramponnais à ses hanches pour mieux lenculer et cela entraina : « Oui,
jaime,
dis moi que tu aimes me monter dessus,
que je suis ta femelle,
»
Moi : « Oui,
jaime te monter dessus,
jaime que tu moffres ta rosette,
jaime, car tu es une gourmande, ... »
Madeleine : « OOOHHH,
continues,
ne tarrêtes pas,
je sens que ça vient,
OUIIIIII,
OOOOHHH,
je JOUIIIIIII,
» Elle eut un spasme brutal, suivi dune réplique ce qui fit que cramponné à ses hanches et bien enfoncé dans son cul, je me vidais avec un long soupir de bien être.
Je roulais à coté delle et elle vint se blottir contre moi : « Tu mas donné beaucoup de plaisir,
jespère que tu as eu du plaisir,
maintenant, je veux un gros câlin,
tu mas fatigué,
» et lentement on sendormit.
Le lendemain, avant que le réveil sonne jétais à la salle de bains, alors que je me séchais de la douche Madeleine arriva : « Bonjour,
ne me regardes pas,
» et elle prit un peigne et se coiffa rapidement et se collant contre moi : « Monsieur file,
et semble moublier,
oublier celle qui cest donné à lui,
» et elle vint se coller contre moi et glissa une main entre nous et se saisit de ma bite, qui pendait lamentablement, mais elle se mit à la caresser et sans trop tarder « popol » décida de répondre à ces caresses pour commencer à se redresser. Quand elle jugea la consistance de la chose satisfaisante, elle saccroupit lentement : « Je vais te gouter,
jen ai envie,
et je vais te faire jouir,
je veux que tu jouisses dans ma bouche,
dis moi que tu aimes que je te suce,
» Que dire, sinon accepter. Elle se mit à jouer avec le bout de ses doigts en parcourant ma hampe, la grattant du bout des ongles, avec effet immédiat un durcissement de la chose. La consistance étant à son goût elle parcourut ma bite à petits coups du bout de sa langue, pour enfin prendre mon gland dans la douceur de ses lèvres chaudes. Là, satisfaite du résultat elle me prit en bouche pour entreprendre de me pomper dabord doucement puis en accélérant le mouvement. Son jeu était tellement excitant que javais limpression davoir un sexe gonflait et cela fit quil ne lui fallut pas longtemps pour que la pression était telle quavec un râle de contentement je lâchais tout dans sa bouche accueillante. Se relevant et se collant à moi : « Jespère que tu as aimé,
moi, jai aimé,
maintenant, à moi la salle de bains,
on se retrouve au petit déjeuné,
»
Dans la salle de restaurant javais choisi une table dans un coins de la salle, un peu à lécart, enfin un peu. Effectivement une petite demi-heure elle arriva toute pimpante dans un tailleur vieux rose qui allait bien avec sa peau de blonde. Et elle avait une allure,
et il ny avait pas que moi qui le pensait. Alors quelle sinstallait je lui dis : « Tu es vraiment splendide,
très élégante,
ça me donne des idées,
»
Madeleine : « Nai pas didées, jai une faim de loup,
alors ne rêves pas,
» et elle se leva pour se rendre au buffet et tous les mâles plus ou moins discrètement la suivirent des yeux. En revenant et sasseyant :
Moi : « Jadmire le style,
la classe mannequin,
si tu continues, il va y avoir une émeute,
»
Madeleine : « Ce tailleur te plait,
»
Moi : « Oui beaucoup,
et il te va à ravir,
je dirais quil te colle à la peau,
et il permet dimaginer le dessous,
tu aimes sentir quon te regarde,
avec envie,
»
Madeleine : « Ça ne me déplait pas,
»
Moi : « Tu devrais déboutonner ta veste que je puisse voir ton corsage et les trésors quil renferme,
je suis certain que tu en as envie,
»
Madeleine : « Ça va te donner des idées, et je ne pense pas que ce soit le moment,
mais si cela te fait plaisir,
et jaime te faire plaisir,
» et elle déboutonna sa veste et apparu son corsage, parfaitement ajusté et bien rempli par ses seins, mais le décolleté était de faible ouverture.
Moi : « Tu as un joli corsage, mais laimerais un décolleté plus ,
disons plus ouvert,
permettant dimaginer,
de rêver,
»
Madeleine : « Tu es complètement fou,
»
Moi : « Allons,
je sais que tu en as envie,
tu aimes quon te demande,
et plus on te demande, plus ça texcite,
»
Madeleine : « Tu es un horrible,
et je técoute,
et je fais ce que tu veux,
chaque fois je me soumets à tes désires,
et jaime le faire,
»
Moi : « Tu te soumets,
cest vite dit,
tu provoques,
mais tu aimes,
tu aimes le sexe,
et tout ça texcite,
ça te fait mouiller,
»
Elle avait augmenté son décolleté, ce qui me permettait davoir une belle vue sur ses belles rondeurs et deviner le reste. Mais, jaimais la provoquer, car elle aimait cela et faisait tout pour.
Moi : « Jaime toujours autant tes seins,
augmente encore ton décolleté,
que je mimagine en train de les sucer, les lécher,
»
Madeleine : « Non,
tu es fou,
dabord arrêtes,
tu es en train dessayer de mexciter,
»
Moi : « Bon,
hum,
je vois tes jolies aréoles brunes claires,
je les lèche,
tas les tétons qui deviennent durs,
hum,
là je vais les prendre entre mes dents,
hum,
je vais les mordiller,
tu aimes quand je fais ça,
»
Madeleine : « Arrêtes,
tu me tournes la tête,
je vais au buffet,
»
Moi, alors quelle revenait du buffet : « Tu sais, on a limpression que ce tailleur a été fait sur toi, Il épouse tes formes avec élégance,
et heureusement que tu es nue en dessous,
»
Madeleine : « Pourquoi tu dis ça,
»
Moi : « Tu aurais une petite culotte,
on verrait au moins les élastiques,
alors que là, on peut apprécier la rondeur de ton très joli cul,
et ne rien avoir sous ta jupe ça donne des idées,
»
Madeleine : « Mais ça ce voit,
»
Moi de façon à lémoustiller un peu : « Les connaisseurs peuvent apprécier,
et menvier,
et toi,
je suis certain que ça yexcite de le faire,
et de le savoir,
»
Madeleine : « Tu sais ce que tu es,
»
Moi : « Oui,
ton amant,
qui sait que tu aimes le sexe,
et qui sait texciter,
dailleurs,
quand tu reviendras du buffet, avant de tasseoir tu devrais remonter ta jupe,
tu écarteras tes jolies cuisses,
pour aérer minou,
»
Madeleine : « Là, tu es complètement fou,
» et elle se leva, et tout en étant concentré sur mon petit déjeuner je constatais que certains mâles la suivirent des yeux avec attention,
elle dus le sentir, ou limaginer. Pour ma part, jattendais avec une certaine impatience le retour à notre table. Elle reposa son plateau et là jai admiré, car je surveillais, lart de remonter légèrement sa jupe sans y paraître.
Madeleine : « Tu es content,
une fois de plus je fais ce que tu veux,
dis moi pourquoi je me soumets tout le temps,
je nai pourtant pas cette réputation,
quest ce que tu ma fait,
»
Moi : « Cest que je pique ta curiosité,
et tu es une adorable femme,
jattise ta sexualité,
et je suis sur que tu es toute chaude,
jaimerais en profiter,
bien dès que tu as fini, on récupère nos affaires,
et on se sépare,
je vais être en retard,
»
Dans le quart dheure suivant, nous étions dans la chambre pour récupérer nos affaires. Avec toutes mes conneries javais une trique pas possible, alors quelle finissait sa valise, je glissais une main entre ses cuisses et remontais jusquà sa chatte encore humide.
Madeleine : « Non,
je nai pas le temps,
arrêtes,
et puis zut,
tu as gagné,
oui, viens,
jai envie de toi,
prends moi,
ce que tu veux,
»
Elle se retourna et vint se coller contre moi avec un nouveau « OUI,
viens,
»
Alors que jaugmentais son décolleté, elle ouvrit veste et corsage moffrant ainsi ses seins à ma bouche, les suçant, les tétant, mordillant ses tétons, ce qui la fit soupirer de plaisir. Enfin nayant rien demandé mais espérant, elle recula jusquau bureau et avant de sy asseoir remonta sa jupe jusquà la ceinture et : « Cest ce que tu voulais,
viens,
prends moi,
jen ai envie,
»
Avant de la prendre, de la baiser, je voulais gouter à sa chatte, dont javais senti lhumidité et je voulais la gouter une fois de plus. Lui soulevant les jambes quelle écarta largement je mapprochais et pouvais humer la douce odeur un peu piquante de la femme, non de la femelle chaude, ouverte, en attente. Je la chatouillais ave le but de la langue : Oui,
cest bon,
ne tarrête pas,
prends moi avec ta langue, tes doigts,
tu mas excitée,
maintenant fais moi jouir,
» elle était tellement ouverte que je la masturbais avec trois doigts et javais limpression quil y avait encore de la place,
et tout à coup, brutalement : « Oui,
continues,
ne tarrêtes pas,
je vais jouir,
OOOOHHH,
OUIIIIIIII,
.OUIIIIIII,
» elle eut un spasme brutal qui lui fit écarter les cuisses puis les refermer brutalement sur ma tête quelle enserra avec violence. Enfin desserrant son étreinte elle se redressa et se laissant glisser à terre vint se coller contre moi, essoufflée, mais apparemment heureuse ou plutôt satisfaite, mais peut-être pas comblée car elle se laissa glisser et saccroupissant elle put se rendre compte que javais une belle trique : « OH,
je vais moccuper de toi,
» et sans hésiter elle me prit en bouche et commençant à pomper, jappréciais fort se quelle faisait, dautant quelle faisait monter la pression et que je risquais de ne pas tenir la longueur, je larrêtais et la faisais se mettre debout : « Dommage, jaimais bien,
jaime te gouter,
avant que tu me prennes,
» et se redressant elle se retourna sappuyant sur le bureau « : « Viens,
je te veux,
fais moi lamour,
soit brutal,
oui,
baises moi,
baises moi fort,
je veux te sentir dans moi,
» sans problème javais trouvé ma place dans sa grotte damour bien ouverte et toute chaude et je la ramonais avec énergie, ce quelle semblait apprécier par des : « Oh, ... cest bon,
continues,
prends bine profond,
remplis moi,
oui, occupes toi de mes fesses,
(javais oublié que pendant quon baisait ainsi, elle aimait que je lui claque les fesses ce que je fis aussitôt)),
oh,
je sens que ça vient,
ne tarrêtes,
oui, .. . baises moi fort,
bourres moi la chatte,
OOOOHHHH,
OUIIII,
. OH OUIIIII,
» Un spasme lavait fait se contracter brutalement, qui fut suivi par une petite réplique,
mais moi avec ce que javais fait depuis hier, je bandais toujours autant, le plaisir était dans les reins, mais rien ne voulait sortir, cela marrivait quand javais trop usé de la chose et je continuais à la ramoner et elle subissait mes assauts : « Arrêtes,
je nen peux plus,
Oh,
arrêtes,
tu vas méclater la chatte,
arrêtes,
arrêtes,
arrêtes,
OOOHHH,
OUI,
continues,
OH, tu es une brute,
ne tarrêtes pas,
continues à me baiser fort,
très fort,
jaime,
je sens que je vais jouir,
OOOOOHHHHH,
..OUIIIII,
..OUIIIII,
» elle un spasme qui la fit se contracter brutalement, heureusement que jétais cramponné à ses hanches et quen même temps je me vidais avec un grand soupir de satisfaction. Le temps de récupérer, elle se redressa et comme elle était vint contre moi, : « Tu es une brute épaisse,
je te gifle
ou je tembrasse,
en te disant merci,
tu es un amour,
» Rapidement on se réajusta et nous étions partis,
))
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